Cette après-midi, je suis passé voir une nouvelle expo au MAIF Social Club. Et me disant « Si vous avez besoin de rien », on m’a tendu cette enveloppe :
Dedans, cette brochure :
Je me suis inscrit pour un atelier bricolage ce dimanche à 19h.
nb : et il y aura des conférences en décembre, qui ne seront pas annulées je pense, mais les inscriptions ne sont pas encore ouvertes.
Voici un petit film, de Théo Caillat et Charles Murat, dans lequel Michel Ocelot évoque la Belle Epoque et son travail. Visible sur la plateforme de la Cinémathèque Française :
Quelques photos du Labyrinthe de Tim Burton, qui n’a pas grand chose d’un labyrinthe et qui a une règle aberrante : ne pas pouvoir revenir en arrière, ce qui empêche de voir toutes les salles. En gros : on voit 15 salles (dont toutes les grandes salles) et on en loupe 8.
J’apprends, aux infos, la mort d’un grand réalisateur américain : William Friedkin. En décembre 2013, j’avais suivi la Master Class qu’il avait proposé à la Cinémathèque Française. Il était très intéressant à écouter !
Parmi ses films les plus connus : « L’exorciste ». Personnellement, j’avais beaucoup apprécié « Bug » !
PS : un texte de Jean-Baptiste Thoret, posté sur Facebook :
« William Friedkin s’est éteint le 7 août 2023, dans son Xanadu de Los Angeles, au sommet de Levico Way, où j’ai eu la chance d’aller le voir plusieurs fois. Au-dessus de son immense salon, au milieu duquel trônaient des tableaux de maîtres, deux pianos à queues, des photos de célébrités encadrées et autres signes d’une vie hollywoodienne fastueuse, il y avait son petit cabinet de travail. Là, il empilait toutes sortes de reliques, ses archives personnelles, les nombreuses récompenses qu’il avait reçues, une photo de son idole Fritz Lang, des objets rescapés de ses tournages et puis le scénario original et annoté par lui de L’Exorciste qu’il m’avait un jour montré comme on dévoile un fétiche précieux. Friedkin n’était pas seulement l’un des tout derniers monuments vivants du cinéma américain, et en particulier du Nouvel Hollywood dont il a incarné le versant obscur, il était à lui seul une idée radicale du cinéma, pleine d’une énergie, d’une détermination hors-normes et d’une fascination pour les passions ambigües qui nous semblent aujourd’hui inaccessible. Avec sa disparition, se referme un peu plus la porte du dernier âge d’or du cinéma américain et plus largement de cette parenthèse enchantée que furent, aux États-Unis, comme en Italie d’ailleurs, les années 1970. De l’autre côté de cette porte, quelques lumières brillent encore mais elles finiront elles aussi par vaciller. Reste pourtant l’essentiel, des souvenirs personnels bien sûr, mais surtout ses films que j’ai tant vu et revu, et qui nous ont tant appris. Au fond, notre exorciste, c’était peut-être lui. »
Je suis allé voir le film « Yannick » que j’ai bien apprécié, mais moins que d’autres films de Quentin Dupieux comme « Au poste ! », « Le Daim », « Mandibules » ou « Incroyable mais vrai ».
Dans des séances de cinéma, j’avais vu la bande annonce (et donc on est un peu obligé de la voir, même si on ferme les yeux, il est difficile de ne rien entendre !). J’aurai préféré ne rien savoir du film, parce que la bande annonce spoile pas mal.
Un atout du film : sa durée, courte ! 1h07. Ca change des films de plus de 2h…
Et si l’on s’apellait Yannick, on pouvait aller voir le film gratuitement 🙂